Mathieu Le Feuvrier - Up on the roof (Holiday Inn Paris Notre Dame) / © Infosbar
Infosbar : Qu’est-ce qui t’a poussé à devenir barman ?
Mathieu Le Feuvrier : Le déclic, je l’ai eu au lycée hôtelier. J’ai suivi une formation classique BEP hôtellerie bac pro. Je me souviens de ce soir, durant un stage à Bagnoles de l’orne où je servais des boissons classiques genre gin tonic. Tout allait bien jusqu’au moment où on m’a demandé une Margarita que je ne savais pas préparer… En apprenant la recette, je me suis dit que ce n’était pas si mal ! J’ai finalement passé tout le reste de la formation derrière ce bar. C’est à partir de là que j’ai su que j‘ai voulu continuer dans cette voie. J’ai alors suivi une mention « bar » pendant un an.
Et ensuite ?
C'était au Normandy Barrière de Deauville. J'avais 19 ans et je me suis alors retrouvé derrière un bar digne de ce nom. Je continuais à l'époque ma mention bar et mon chef, mr Marc Jean, était un génie de la profession. J’ai beaucoup appris avec lui.
Ton meilleur souvenir derrière le bar ?
Il y a plein de bons souvenirs. Je dirais l’année dernière sur terrasse (du Quarante trois cocktail club). J’avais réalisé le cocktail « Tais-toi laisse-moi faire », une création plus ou moins sur mesure pour un client. Sans le savoir, j’avais utilisé des ingrédients qu’il n’aimait pas du tout. Il a pourtant adoré et m’a tout de suite demandé la recette. C’est un de mes bons souvenirs.
Le pire souvenir ?
C’était justement à Deauville, je crois que c’est le pire de tous. Je portais au plateau une douzaine de verres, dont des Cognac hors de prix. J’ai tout fait tomber et me suis alors senti seul au monde. Le plus important c’est de savoir pourquoi tu as fait la connerie. Avec le recul ça m’a servi, mais sur le moment c’était horrible.
Mathieu Le Feuvrier : Le déclic, je l’ai eu au lycée hôtelier. J’ai suivi une formation classique BEP hôtellerie bac pro. Je me souviens de ce soir, durant un stage à Bagnoles de l’orne où je servais des boissons classiques genre gin tonic. Tout allait bien jusqu’au moment où on m’a demandé une Margarita que je ne savais pas préparer… En apprenant la recette, je me suis dit que ce n’était pas si mal ! J’ai finalement passé tout le reste de la formation derrière ce bar. C’est à partir de là que j’ai su que j‘ai voulu continuer dans cette voie. J’ai alors suivi une mention « bar » pendant un an.
Et ensuite ?
C'était au Normandy Barrière de Deauville. J'avais 19 ans et je me suis alors retrouvé derrière un bar digne de ce nom. Je continuais à l'époque ma mention bar et mon chef, mr Marc Jean, était un génie de la profession. J’ai beaucoup appris avec lui.
Ton meilleur souvenir derrière le bar ?
Il y a plein de bons souvenirs. Je dirais l’année dernière sur terrasse (du Quarante trois cocktail club). J’avais réalisé le cocktail « Tais-toi laisse-moi faire », une création plus ou moins sur mesure pour un client. Sans le savoir, j’avais utilisé des ingrédients qu’il n’aimait pas du tout. Il a pourtant adoré et m’a tout de suite demandé la recette. C’est un de mes bons souvenirs.
Le pire souvenir ?
C’était justement à Deauville, je crois que c’est le pire de tous. Je portais au plateau une douzaine de verres, dont des Cognac hors de prix. J’ai tout fait tomber et me suis alors senti seul au monde. Le plus important c’est de savoir pourquoi tu as fait la connerie. Avec le recul ça m’a servi, mais sur le moment c’était horrible.
Autres articles
-
"Up on the Roof", la terrasse éphémère parisienne du 43 Cocktail Bar
-
Bacardi Legacy Cocktail Competition 2013 // Mathieu Le Feuvrier
-
Découvrez le "Volver", le cocktail création de Mathieu Le Feuvrier, finaliste du Bacardi Legacy
-
Cocktail Lô Sunshine au 43 cocktail bar
-
Le "114 up on the roof" : la terrasse du bar panoramique du Courtyard by Marriott Paris Boulogne
La communication est un vecteur de plus en plus vital pour les barmen. Quels outils utilises-tu ?
J’utilise les outils classiques. Facebook, vidéos sur infosbartv.com, twitter, Foursquare. On peut aussi communiquer par l’intermédiaire des marques.
Pour finir, tes impressions sur le Rhum Fair 2013 ?
C’est un salon génial ! Il y a énormément de rhums différents, des produits qu’on a rarement l’occasion de déguster, qu’on ne connaissait que de nom. Observer les méthodes de travail des confrères est très intéressant et enrichissant.
Ton top-5 des bars parisiens ?
« Maria Loca », 31 Boulevard Henry IV, 75004
« 25ème heure », 4 rue de l’Arc de Triomphe, 75017
« 114 up on the roof », (hôtel Mariott) 114 rue de la Reine, 92100 Boulogne Billancourt
«Manfred», 1 rue Réaumur, 75003
«Les Dessous de Paris », 57 rue Quincampoix, 75004
Propos recueillis par Valentin Dianda
Quarante Trois Cocktail Bar
Hôtel Holiday Inn
4 rue Danton
75006 Paris
> Les photos "old school" de Mathieu sur la page facebook Infosbar Collector
J’utilise les outils classiques. Facebook, vidéos sur infosbartv.com, twitter, Foursquare. On peut aussi communiquer par l’intermédiaire des marques.
Pour finir, tes impressions sur le Rhum Fair 2013 ?
C’est un salon génial ! Il y a énormément de rhums différents, des produits qu’on a rarement l’occasion de déguster, qu’on ne connaissait que de nom. Observer les méthodes de travail des confrères est très intéressant et enrichissant.
Ton top-5 des bars parisiens ?
« Maria Loca », 31 Boulevard Henry IV, 75004
« 25ème heure », 4 rue de l’Arc de Triomphe, 75017
« 114 up on the roof », (hôtel Mariott) 114 rue de la Reine, 92100 Boulogne Billancourt
«Manfred», 1 rue Réaumur, 75003
«Les Dessous de Paris », 57 rue Quincampoix, 75004
Propos recueillis par Valentin Dianda
Quarante Trois Cocktail Bar
Hôtel Holiday Inn
4 rue Danton
75006 Paris
> Les photos "old school" de Mathieu sur la page facebook Infosbar Collector