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> Photo : Keystone
Il avait 16 ans, il est mort après avoir ingurgité 50 verres de tequila. C'était à en mars, à l'occasion d'une soirée «alcool défonce» ou «biture express», selon les expressions consacrées. Un drame de trop: ce canton a décidé hier de proposer l'interdiction du concept.
Un modèle à suivre? En Suisse romande, ces soirées semblent un peu «passées de mode» ou «très ponctuelles», à en croire ceux qui les ont pratiquées, surtout lors de fêtes d'étudiants de fin d'année.
L'Institut suisse de prévention de l'alcoolisme, lui, applaudit: «Cette loi bernoise est un bon signal. Ce mode de vente, qu'il se fasse dans des soirées publiques ou semi-privées, favorise tous les excès», commente son directeur Michel Graf.
L'alcool à volonté? Un vrai cauchemar...
Pierre, 19 ans, se souvient d'une soirée de gymnasiens, en 2005. «C'était l'horreur. En 15 minutes certains avaient déjà descendu 4 ou 5 verres. Ils sont vite devenus totalement saouls. Plusieurs ont vomi. Depuis, les organisateurs ont abandonné le concept d'alcool à gogo car ils ont eu trop de problèmes, notamment de vols. Ceux qui tenaient le vestiaire étaient bien trop ivres et ne voyaient rien passer».
Source : lematin.ch
Il avait 16 ans, il est mort après avoir ingurgité 50 verres de tequila. C'était à en mars, à l'occasion d'une soirée «alcool défonce» ou «biture express», selon les expressions consacrées. Un drame de trop: ce canton a décidé hier de proposer l'interdiction du concept.
Un modèle à suivre? En Suisse romande, ces soirées semblent un peu «passées de mode» ou «très ponctuelles», à en croire ceux qui les ont pratiquées, surtout lors de fêtes d'étudiants de fin d'année.
L'Institut suisse de prévention de l'alcoolisme, lui, applaudit: «Cette loi bernoise est un bon signal. Ce mode de vente, qu'il se fasse dans des soirées publiques ou semi-privées, favorise tous les excès», commente son directeur Michel Graf.
L'alcool à volonté? Un vrai cauchemar...
Pierre, 19 ans, se souvient d'une soirée de gymnasiens, en 2005. «C'était l'horreur. En 15 minutes certains avaient déjà descendu 4 ou 5 verres. Ils sont vite devenus totalement saouls. Plusieurs ont vomi. Depuis, les organisateurs ont abandonné le concept d'alcool à gogo car ils ont eu trop de problèmes, notamment de vols. Ceux qui tenaient le vestiaire étaient bien trop ivres et ne voyaient rien passer».
Source : lematin.ch