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Triste fin de partie pour la Loco, mythique discothèque de Pigalle. Le tribunal de commerce a scellé jeudi dernier son destin, en désignant comme repreneur du fonds de commerce le Bal du Moulin Rouge, société qui gère le célèbre cabaret mitoyen et possède déjà les murs de la Loco.
Dès jeudi soir, des responsables du Moulin Rouge accompagnés d'un huissier ont tenté de récupérer les clés du bâtiment. "Nous avons refusé de les laisser entrer car ils n'avaient aucun document attestant le jugement", affirme Tony, un salarié affilié à la CFTC. La tension est vite montée chez les employés, qui ont décidé depuis lors d'occuper leur entreprise.
"Le repreneur ne va garder qu'une vingtaine d'emplois sur cinquante, déplore Denis Fisher, directeur artistique de la discothèque. Nous avions proposé un plan pour préserver tous les emplois. Les salariés eux-mêmes ont proposé de reprendre l'activité pour un montant de 1,2 millions d'euros, soit la même offre que le Moulin Rouge, avec un prêt bancaire. La justice ne les a pas retenus." Parmi les offres de reprise, la nôtre était celle qui préservait le plus d'emplois", assure de l'autre côté maître Michel Jockey, l'avocat du Bal du Moulin Rouge, qui affirme qu'il n'y a "aucune agressivité" vis à vis du voisin déchu.
En lieu et place de la Loco, le Moulin Rouge va installer un café et un service de restauration rapide. "Ce nouvel espace permettra d'accueillir les 1600 personnes qui sont obligées de faire la queue tous les soirs sur le boulevard de Clichy avant de se rendre au Moulin Rouge".
L'activité de la Loco se poursuivra jusqu'aux travaux, d'ici à six mois. De leur côté, les employés et la direction pourraient repousser l'échéance en faisant appel de la décision de justice. Sans quoi il devront quitter les lieux"
bUn grand rassemblement est programmé samedi 31 octobre à 19h30 devant [la Loco pour la défense du club.]b
Source : Metro
Dès jeudi soir, des responsables du Moulin Rouge accompagnés d'un huissier ont tenté de récupérer les clés du bâtiment. "Nous avons refusé de les laisser entrer car ils n'avaient aucun document attestant le jugement", affirme Tony, un salarié affilié à la CFTC. La tension est vite montée chez les employés, qui ont décidé depuis lors d'occuper leur entreprise.
"Le repreneur ne va garder qu'une vingtaine d'emplois sur cinquante, déplore Denis Fisher, directeur artistique de la discothèque. Nous avions proposé un plan pour préserver tous les emplois. Les salariés eux-mêmes ont proposé de reprendre l'activité pour un montant de 1,2 millions d'euros, soit la même offre que le Moulin Rouge, avec un prêt bancaire. La justice ne les a pas retenus." Parmi les offres de reprise, la nôtre était celle qui préservait le plus d'emplois", assure de l'autre côté maître Michel Jockey, l'avocat du Bal du Moulin Rouge, qui affirme qu'il n'y a "aucune agressivité" vis à vis du voisin déchu.
En lieu et place de la Loco, le Moulin Rouge va installer un café et un service de restauration rapide. "Ce nouvel espace permettra d'accueillir les 1600 personnes qui sont obligées de faire la queue tous les soirs sur le boulevard de Clichy avant de se rendre au Moulin Rouge".
L'activité de la Loco se poursuivra jusqu'aux travaux, d'ici à six mois. De leur côté, les employés et la direction pourraient repousser l'échéance en faisant appel de la décision de justice. Sans quoi il devront quitter les lieux"
bUn grand rassemblement est programmé samedi 31 octobre à 19h30 devant [la Loco pour la défense du club.]b
Source : Metro