
Article by les Alchimistes (blogueurs)
En résumé : un public aux chakras 100% ouverts le temps d’un week-end, livré sur un plateau à des dizaines de marques. Ces dernières ont profité de l’occasion pour immerger tout ce peuple
Toutes les deux brassées à Schiltigheim par les brasseries Heineken, ces bières "grands crus" ont tout compris à la vie : être là où il faut, quand il faut, avec le public qu’il faut, dans les conditions optimales (c’est ça, l’Alsace !). Or, quand tout le monde rôtit au soleil (magnifiques brûlures à l’appui pour 70% des participants), que les files d'attente se font longues, que l’on sue jusqu’à être aussi sec qu’un raisin et qu’on se doit d’être hydraté jusqu'à 3 heures du matin minimum, une gorgée de bière devient aussi salutaire qu’une goutte d’eau dans le Sahara.

© Agence Le 9ème concept (facebook)
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C’est comme ça que le Desperados Wild Bar (bar éphémère et en mouvement dans différentes villes depuis 2011) et la Heineken Green Room ont fait leur trou aux Solidays, avec deux univers bien imbibés par les marques. Le premier, toujours dans l’esprit « Wild » que Desperados a mis en place dans ses communications mondiales, propose aux festivaliers un bar d’expérience imaginé à partir de l’esprit un peu « ranch » du produit (imaginez une structure avec le métal bien apparent, des bouteilles de « Despe » suspendues au plafond, des DJ sets bien épicés et une terrasse avec vue sur tout le festival). Chaque année, le Wild Bar invite les passants à entrer dans la « Black Room », où à dessiner sur les murs avec des stylos fluorescents. L’année dernière, un baby foot visible à la lumière des néons avait d’ailleurs fait plus d’un fan.

© streetplanneur.com
Dans le même esprit, la Heineken Green Room (directement issue du concept Green Room Session, où Heineken se concentre sur le partage de musiques qui font vibrer) se présente comme un véritable lounge. Petits espaces avec canapés, Line up des plus efficaces (on note entre autres notre favori, Victor Aime), bières bien fraîches et véritable ambiance de club. Pour un projet né en 2010, cette Green Room session est déjà bien aboutie et on ne peut qu’espérer la voir s’améliorer avec le temps !
En bref, deux espaces bien imaginés, gérés à merveille et qui ont attiré parfois plus de monde que certains concerts. Ces deux concepts ne font qu’affirmer les belles positions que ces deux marques ont prises sur leur marché. Un esprit bien particulier, en alchimie totale avec l’air du temps mais aussi et surtout complètement parfait pour des festivaliers qui attendent de vivre les plus belles expériences le temps d’un week-end.
Chapeau bas, l’ami ! On leur lève nos "Solidays cups" et on souhaite une longue vie à ce beau festival.
En bref, deux espaces bien imaginés, gérés à merveille et qui ont attiré parfois plus de monde que certains concerts. Ces deux concepts ne font qu’affirmer les belles positions que ces deux marques ont prises sur leur marché. Un esprit bien particulier, en alchimie totale avec l’air du temps mais aussi et surtout complètement parfait pour des festivaliers qui attendent de vivre les plus belles expériences le temps d’un week-end.
Chapeau bas, l’ami ! On leur lève nos "Solidays cups" et on souhaite une longue vie à ce beau festival.

© Lam Le Thanh pour Solidays / Le Figaro