
Une boisson énergisante de conception autrichienne se vante dans ses campagnes publicitaires de donner des ailes à ses consommateurs. Assertion peu probable qui aura au moins eu le mérite de donner des idées à deux Montois. Benoît Mollet et Enguerrand de Gouttes, associés, ont décidé voilà deux ans de se lancer dans l’aventure du pétillant sucré survitaminé et caféiné.
Un pari osé puisque Truc de Fou, c’est son nom, s’attaque à deux poids lourds de l’agroalimentaire mondial, Coca-Cola d’un côté, Red Bull de l’autre. Et pourtant les deux Gascons ne se démontent pas, bien décidés à capitaliser à fond sur le capital sympathie qu’inspire la notion de dernier village gaulois. « Nos complexes sont devenus des forces », sourit Benoît Mollet, qui n’hésite pas, parfois, à se faire presque maquignon. « Nous avons largement bénéficié à nos débuts de cette étiquette de petits. La grande distribution nous a du coup vraiment aidés. Ils étaient contents d’avoir des petits Français à présenter face à la concurrence. »
Un pari osé puisque Truc de Fou, c’est son nom, s’attaque à deux poids lourds de l’agroalimentaire mondial, Coca-Cola d’un côté, Red Bull de l’autre. Et pourtant les deux Gascons ne se démontent pas, bien décidés à capitaliser à fond sur le capital sympathie qu’inspire la notion de dernier village gaulois. « Nos complexes sont devenus des forces », sourit Benoît Mollet, qui n’hésite pas, parfois, à se faire presque maquignon. « Nous avons largement bénéficié à nos débuts de cette étiquette de petits. La grande distribution nous a du coup vraiment aidés. Ils étaient contents d’avoir des petits Français à présenter face à la concurrence. »
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Logique inverse
Pour se lancer, les deux fondateurs de la marque se sont appuyés sur une logique inverse de celle des cadors du secteur. Enguerrand de Gouttes s’en explique : « Au départ, nous sommes des fanas de sports extrêmes. C’est pour financer cette passion que nous avons tenté l’aventure. » Contrairement aux concurrents qui sponsorisent ce type d’activités pour vendre des canettes… Malin.
Eux jurent n’avoir aucune malice : c’est uniquement pour faire tourner leur site et sponsoriser des riders qu’ils accumulent les palettes de petites boîtes dans leur entrepôt situé à Labatut. Simplement, « Nous avons lancé un produit qui s’adresse avant tout à un milieu que nous connaissons parfaitement. C’est peut-être pour cela que ça marche. Mais notre objectif principal est toujours d’aider au développement des sports extrêmes », avance Enguerrand de Gouttes. Il n’empêche que l’envolée des ventes du produit l’a peut-être rendu plus important que leur site.
Suite de l'article sur Drinky.fr
Pour se lancer, les deux fondateurs de la marque se sont appuyés sur une logique inverse de celle des cadors du secteur. Enguerrand de Gouttes s’en explique : « Au départ, nous sommes des fanas de sports extrêmes. C’est pour financer cette passion que nous avons tenté l’aventure. » Contrairement aux concurrents qui sponsorisent ce type d’activités pour vendre des canettes… Malin.
Eux jurent n’avoir aucune malice : c’est uniquement pour faire tourner leur site et sponsoriser des riders qu’ils accumulent les palettes de petites boîtes dans leur entrepôt situé à Labatut. Simplement, « Nous avons lancé un produit qui s’adresse avant tout à un milieu que nous connaissons parfaitement. C’est peut-être pour cela que ça marche. Mais notre objectif principal est toujours d’aider au développement des sports extrêmes », avance Enguerrand de Gouttes. Il n’empêche que l’envolée des ventes du produit l’a peut-être rendu plus important que leur site.
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