Si vous n’êtes pas au courant, rien ne laisse présager ce qui se cache derrière le numéro 52 de la rue Saintconge, dans le 3e. A première vue, une taqueria (comme on peut en trouver à Berlin ou même à Londres) plutôt sympathique et bon enfant, où la langue espagnole vous transportera dans de lointaines contrées…
Au menu ? Des tacos, bien sûr mais aussi d’autres bon petits plats mexicains à savourer, à midi comme à 20h, en famille ou entre amis.
Mais là où la Candelaria créé la surprise, c’est dans l’arrière salle, dissimulée derrière une porte au fond de la taqueria. Plus grande et plus cosy, cette seconde salle peut surprendre mais en même temps, c’est le but.
Inspiré des endroits cachés, comme le Please Don’t Tell, alias PDT pour les intimes, basé à NYC (élu meilleur bar du monde en 2011), la Candelaria attire donc, depuis sa création, en mars dernier, foule de curieux mais aussi d’amateurs de cocktails.
Car si le bar ne se définit pas comme tel, me précise Carina, mais comme un simple bar, où l’on peut aussi venir boire de la bière et écouter de la musique, la Candelaria offre à ses clients des cocktails créations plutôt originaux et séduisants comme le Pisco Disco, le Velvet Beat ou encore le Russian Clobber.
Au menu ? Des tacos, bien sûr mais aussi d’autres bon petits plats mexicains à savourer, à midi comme à 20h, en famille ou entre amis.
Mais là où la Candelaria créé la surprise, c’est dans l’arrière salle, dissimulée derrière une porte au fond de la taqueria. Plus grande et plus cosy, cette seconde salle peut surprendre mais en même temps, c’est le but.
Inspiré des endroits cachés, comme le Please Don’t Tell, alias PDT pour les intimes, basé à NYC (élu meilleur bar du monde en 2011), la Candelaria attire donc, depuis sa création, en mars dernier, foule de curieux mais aussi d’amateurs de cocktails.
Car si le bar ne se définit pas comme tel, me précise Carina, mais comme un simple bar, où l’on peut aussi venir boire de la bière et écouter de la musique, la Candelaria offre à ses clients des cocktails créations plutôt originaux et séduisants comme le Pisco Disco, le Velvet Beat ou encore le Russian Clobber.
(c) Danielle Rubi 2011
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Pisco (pisco péruvien), sirop d'orgeat fait maison, Galliano Authentico, Aperol, citron vert, bitter. Le cocktail est servi dans un verre à cocktail, saupoudré de paillettes alimentaires.
- RECETTE DU VELVET BEAT : cocktail à savourer l’hiver
Rhum (eldorado spicy rhum), citron vert, sucre spécial (à base de poivre asiatique), Velvet Falernum (fait maison) qui est une liqueur d'amande et de gingembre parfumé au clou de girofle.
Pisco (pisco péruvien), sirop d'orgeat fait maison, Galliano Authentico, Aperol, citron vert, bitter. Le cocktail est servi dans un verre à cocktail, saupoudré de paillettes alimentaires.
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Rhum (eldorado spicy rhum), citron vert, sucre spécial (à base de poivre asiatique), Velvet Falernum (fait maison) qui est une liqueur d'amande et de gingembre parfumé au clou de girofle.
(c) Danielle Rubi 2011
Alors à quoi doit-on ce bar concept plutôt détonnant et unique dans la capitale ?
Il y tout d’abord Carina Soto Velasquez, d’origine Colombienne, installée depuis 7 ans à Paris et qui a déjà fait ses armes à l’Experimental Cocktail Club aux côtés d’Olivier Bon et Joshua, d’origine américaine, qui se trouve être le second associé.
Aujourd’hui, le bar se compose de 4 bartenders, toujours prêt à innover et à répondre aux besoins des clients, qui se pressent ici les jeudis soirs, dès 19h et les vendredis et samedi dès 22h. Alors, un conseil, si vous êtes un fervent amateur de cocktail, préférez les dimanches soirs ou les lundis soirs pour découvrir les créations de la Candelaria.
Et pour les autres, laissez-vous porter par l’ambiance détendue et bonne enfant du bar, qui n’hésite pas à inviter des DJ (qui peuvent être parfois les voisins ou les clients du bar) pour passer des disques toute la soirée.
Il y tout d’abord Carina Soto Velasquez, d’origine Colombienne, installée depuis 7 ans à Paris et qui a déjà fait ses armes à l’Experimental Cocktail Club aux côtés d’Olivier Bon et Joshua, d’origine américaine, qui se trouve être le second associé.
Aujourd’hui, le bar se compose de 4 bartenders, toujours prêt à innover et à répondre aux besoins des clients, qui se pressent ici les jeudis soirs, dès 19h et les vendredis et samedi dès 22h. Alors, un conseil, si vous êtes un fervent amateur de cocktail, préférez les dimanches soirs ou les lundis soirs pour découvrir les créations de la Candelaria.
Et pour les autres, laissez-vous porter par l’ambiance détendue et bonne enfant du bar, qui n’hésite pas à inviter des DJ (qui peuvent être parfois les voisins ou les clients du bar) pour passer des disques toute la soirée.
(c) Danielle Rubi 2011
(c) Danielle Rubi 2011
(c) Danielle Rubi 2011
La Candelaria
52 rue de Saintonge 75003 Paris
Ouvert non-stop 7/7
Sur place et à emporter
Du dimanche au mercredi de 12h-23h
Du jeudi au samedi de 12h-00h
Le bar est ouvert 7/7 de 19h-2h
jen's cocktail brunch tous les samedis et dimanches entre 12h-16h
Tél. : +33 01 42 74 41 28
info@candelariaparis.com
Crédit photos : (c) Danielle Rubi 2011
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération
52 rue de Saintonge 75003 Paris
Ouvert non-stop 7/7
Sur place et à emporter
Du dimanche au mercredi de 12h-23h
Du jeudi au samedi de 12h-00h
Le bar est ouvert 7/7 de 19h-2h
jen's cocktail brunch tous les samedis et dimanches entre 12h-16h
Tél. : +33 01 42 74 41 28
info@candelariaparis.com
Crédit photos : (c) Danielle Rubi 2011
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération