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Le délai de 24 heures accordé inextremis par le gouvernement n'y changera pas grand-chose. Tous les métiers y réfléchissent depuis plusieurs mois mais le retour d'expérience de pays comme l'Irlande ou l'Italie, qui ont aussi banni le tabac, leur donne déjà une bonne idée de ce qui les attend.
Bars et cafés. "Ces établissements vont souffrir, parce qu'une grande partie de leur clientèle sont des fumeurs", explique Jean-Marc Le Carour, vice-président de l'UMIH (Union des métiers et des industries de l'hôtellerie). Or, l'entrée en vigueur de l'interdiction de fumer intervient dans une branche déjà fragilisée économiquement. "Sur les 80 000 établissements adhérant à l'UMIH, environ 15 % d'entre-eux sont déjà dans une situation difficile, proche du dépôt de bilan", assure ainsi M. Le Carour.
Les professionnels sont d'autant plus pessimistes que la reconquête potentielle d'une clientèle de non-fumeurs, censée revenir dans les cafés, n'interviendra pas dans les deux ou trois mois qui vont suivre l'interdiction. "Ça se fera, au mieux, dans les 6 mois", estime M. Le Carour qui ajoute que "cette période transitoire risque de faire toute la différencepour les entreprises les plus fragiles". L'exemple de l'Irlande n'incite pas à l'optimisme : après dix-huit mois d'interdiction, l'activité y a reculé de 18 % à 25 %.
Source : lemonde.fr
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Bars et cafés. "Ces établissements vont souffrir, parce qu'une grande partie de leur clientèle sont des fumeurs", explique Jean-Marc Le Carour, vice-président de l'UMIH (Union des métiers et des industries de l'hôtellerie). Or, l'entrée en vigueur de l'interdiction de fumer intervient dans une branche déjà fragilisée économiquement. "Sur les 80 000 établissements adhérant à l'UMIH, environ 15 % d'entre-eux sont déjà dans une situation difficile, proche du dépôt de bilan", assure ainsi M. Le Carour.
Les professionnels sont d'autant plus pessimistes que la reconquête potentielle d'une clientèle de non-fumeurs, censée revenir dans les cafés, n'interviendra pas dans les deux ou trois mois qui vont suivre l'interdiction. "Ça se fera, au mieux, dans les 6 mois", estime M. Le Carour qui ajoute que "cette période transitoire risque de faire toute la différencepour les entreprises les plus fragiles". L'exemple de l'Irlande n'incite pas à l'optimisme : après dix-huit mois d'interdiction, l'activité y a reculé de 18 % à 25 %.
Source : lemonde.fr
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