Autres articles
-
Épilogue Infosbar (2006-2023) : Commentaires et Témoignages
-
Épilogue Infosbar du 4 septembre 2023 : Chaque fin est un nouveau départ
-
Revue de presse CHR on line : Colin Field quitte le Hemingway, Terrasses, rooftops, l'été sera chaud ! Prêts pour la Dolce Vita 2023 ?
-
Cocktails Spirits Paris 2023 : Un cocktail de Créativité et d'Innovation pour les bartenders du monde entier au Palais de Tokyo
-
Réglementation des Influenceurs: Comprendre la Nouvelle Loi Française
« Nous devons nous contenter d’une croissance à un chiffre, alors qu’elle pourrait être à deux chiffres », se plaint-il avant d’étriller le mode de fonctionnement « archaïque » de la région « dommageable à la fluidité du marché »... Et à ses ventes.
Le géant des bulles de luxe accuse les Safer (Sociétés d’aménagement foncier d’établissement rural) de trop faire usage de leur droit de préemption, l’empêchant de racheter des terres. Aujourd’hui, les 1.100 hectares de vignoble de la marque approvisionnent 30% de ses fûts.
100 millions de bouteilles dans les caves
Autre obstacle au développement sans frein de Moët & Chandon, les vignerons. Ils garderaient au frais dans leurs caves l’équivalent de 100 millions de bouteilles de champagne pour limiter la fiscalité et assurer une rente pour leurs vieux jours. S’ils les vendaient (sous la marque Moët & Chandon, par exemple), cela augmenterait de 30% les ventes annuelles. « Ces stocks sont un complément indispensable pour nos retraites agricoles très modestes », explique Patrick Le Brun dans « Les Echos ».
Frédéric Cumenal, lui, voit seulement que « la consommation n’est encore que d’une demi-coupe par Américain et par an, quand elle est de trois bouteilles par Français! » Et qu’il ne peut pas combler ce fossé rapidement.
Source : 20Minutes.fr, éditions du 30/07/2007
Le géant des bulles de luxe accuse les Safer (Sociétés d’aménagement foncier d’établissement rural) de trop faire usage de leur droit de préemption, l’empêchant de racheter des terres. Aujourd’hui, les 1.100 hectares de vignoble de la marque approvisionnent 30% de ses fûts.
100 millions de bouteilles dans les caves
Autre obstacle au développement sans frein de Moët & Chandon, les vignerons. Ils garderaient au frais dans leurs caves l’équivalent de 100 millions de bouteilles de champagne pour limiter la fiscalité et assurer une rente pour leurs vieux jours. S’ils les vendaient (sous la marque Moët & Chandon, par exemple), cela augmenterait de 30% les ventes annuelles. « Ces stocks sont un complément indispensable pour nos retraites agricoles très modestes », explique Patrick Le Brun dans « Les Echos ».
Frédéric Cumenal, lui, voit seulement que « la consommation n’est encore que d’une demi-coupe par Américain et par an, quand elle est de trois bouteilles par Français! » Et qu’il ne peut pas combler ce fossé rapidement.
Source : 20Minutes.fr, éditions du 30/07/2007