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Réglementation des Influenceurs: Comprendre la Nouvelle Loi Française
La campagne imaginée par FFL met en scène des plantes et animaux réalisés en images de synthèse.
Hyène ondulant en body moulant, girafe en corset rose, zèbre aux mules vertigineuses chevauchant une bouteille de soft-drink, biche se cambrant sous un flot de liquide orangé, cactus provocant... Sensuelle, débridée, la petite bouteille ronde Orangina est de retour, toute pulpe dehors. Impossible de la louper dans l'humidité et la froideur automnales. Et s'il est recommandé de conserver la boisson au frais, l'affiche, tout comme le film cinéma, télé et Internet, conçus par l'agence Fred Farid Lambert (FFL) début novembre, devrait hausser de plusieurs degrés la température du consommateur. En guise de nouvelle accroche, un conviction martelée : « Naturellement pulpeuse ». Et qui dissimule une ambition de fer. La campagne FFL doit impérativement « booster » une part de marché en valeur ayant piqué du nez de 7,7 % à 5,5 % entre 2000 et 2007.
Retour en arrière, douze mois auparavant. Dans les locaux du 12-14, rue Belgrand, à Levallois, l'atmosphère est glaciale. Détenue depuis 2006 par les fonds d'investissement Blackstone et Lion Capital dans le cadre de leur rachat du pôle boissons de Cadbury-Schweppes (Orangina, Oasis, Pampryl, Gini et Schweppes), la petite bouteille ronde fait ses comptes. Ils ont un goût amer. Le passé du numéro trois des soft-drinks français, placé juste derrière Coca-Cola et Oasis, est pourtant somptueux. La femme « fruitillante » de l'affichiste Villemot, dont le chapeau et le fourreau d'écorce étaient taillés dans un zeste d'orange, le barman quasi épileptique de Jean-Jacques Annault, la serveuse sautillante de Jean-Paul Goude, les hommes bouteilles d'Alain Chabat ont offert à Orangina une légende inattendue et décalée.
Source : les echos.fr
Suite de l'article. Cliquez ici
Hyène ondulant en body moulant, girafe en corset rose, zèbre aux mules vertigineuses chevauchant une bouteille de soft-drink, biche se cambrant sous un flot de liquide orangé, cactus provocant... Sensuelle, débridée, la petite bouteille ronde Orangina est de retour, toute pulpe dehors. Impossible de la louper dans l'humidité et la froideur automnales. Et s'il est recommandé de conserver la boisson au frais, l'affiche, tout comme le film cinéma, télé et Internet, conçus par l'agence Fred Farid Lambert (FFL) début novembre, devrait hausser de plusieurs degrés la température du consommateur. En guise de nouvelle accroche, un conviction martelée : « Naturellement pulpeuse ». Et qui dissimule une ambition de fer. La campagne FFL doit impérativement « booster » une part de marché en valeur ayant piqué du nez de 7,7 % à 5,5 % entre 2000 et 2007.
Retour en arrière, douze mois auparavant. Dans les locaux du 12-14, rue Belgrand, à Levallois, l'atmosphère est glaciale. Détenue depuis 2006 par les fonds d'investissement Blackstone et Lion Capital dans le cadre de leur rachat du pôle boissons de Cadbury-Schweppes (Orangina, Oasis, Pampryl, Gini et Schweppes), la petite bouteille ronde fait ses comptes. Ils ont un goût amer. Le passé du numéro trois des soft-drinks français, placé juste derrière Coca-Cola et Oasis, est pourtant somptueux. La femme « fruitillante » de l'affichiste Villemot, dont le chapeau et le fourreau d'écorce étaient taillés dans un zeste d'orange, le barman quasi épileptique de Jean-Jacques Annault, la serveuse sautillante de Jean-Paul Goude, les hommes bouteilles d'Alain Chabat ont offert à Orangina une légende inattendue et décalée.
Source : les echos.fr
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